Tweetwall et modération : où s’arrête l’art, où commence l’insulte ?

Faut-il toujours censurer les mots grossiers sur un tweetwall ? Quel est le sens de la vie si on présente des œuvres culturelles « osées » d’un côté, et que de l’autre on les incite à en parler, mais qu’on censure les mots qui les décrivent ? Exemple concret au Grand Palais.
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